mercredi 14 mai 2008

Chez Camillou


Ca sonne comme un café de village, mais c'est un hôtel prétentieux où l'on vous accompagne dans l'ascenseur, avec un regard apitoyé pour vos bottines poussiéreuses. Le soir, au restaurant, mêlées aux snobs du coin qui s'offrent un repas gastronomique pour le 1er mai, nous sentons la condescendance de Monique et Gros-ventre (surnoms), les officiants du lieu, quand nous annonçons "demi-pension pélerin". On nous sert l'inévitable coupétade, mais version luxe -sans aucun rapport avec l'authentique ! Ce sera la dernière fois que nous croiserons Gunther, qui disparaît dans sa chambre en emportant sa bouteille de vin...

1 commentaire:

Unknown a dit…

Chère Madame,
soucieux de la qualité des services que nous proposons à notre clientèle, nous regardons sur le net toutes les critiques faites sur notre établissement qu'elles soient positives ou négatives, et nous les commentons. En ce qui concerne les remarques que vous faites sur notre maison, je me permets de vous écrire ceci : Ce n'est pas "hôtel prétentieux", tous types de clients fréquentent notre établissement : des personnes avec des chaussures pleines de boues, (qu'elles gardent aux pieds suite à notre demande) à une clientèle plus précieuse qui ne cherche pas forcément la rigueur du chemin mais tout simplement une étape gastronomique. Nous avons le même respect et la même considération pour l'ensemble de nos clients. quant aux surnoms que vous donnez aux personnes qui vous ont accueillis au restaurant : Sans commentaires...!